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Crise israélo-palestinienne : Matisson, un regard tranché et sans filtre.

Lundi 20 NOVEMBRE 2023 - PORTETS (Gironde)

Sans tabous ni langue de bois.


Au cœur du petit village de Portets en Gironde, c'est une atmosphère vibrante qui a animé l'association BOAZ'ART, membre de Business Village, ce matin. Dès mon passage à travers les portes de cette salle municipale, à deux pas de Bordeaux, j'ai été happé par un tourbillon d'activité : là, des passionnés virevoltaient entre caméras et microphones, jonglant adroitement avec les tables de mixage.


Autour d'une table, tel un tableau vivant, deux silhouettes figées offraient leurs traits aux jeux de lumière d'un photographe en quête de la perfection visuelle. Plus loin, l'esprit d'équipe prenait forme autour d'un buffet improvisé où café fumant et viennoiseries dorées attendaient les artistes et techniciens, invitant à une pause conviviale.


C'était un petit monde en effervescence, une ruche artistique où chaque individu, tel un alchimiste moderne, contribuait à la magie du spectacle en devenir. Et moi, observateur fasciné, j'étais témoin de cette belle cadence où chaque geste et chaque sourire semblaient orchestrés par une symphonie invisible, celle de la création partagée.





Mais que se passait t'il ?


Avec le sourire qui lui barre le visage et l'œil enthousiaste et malicieux, Roland ALIBERT, maître d'œuvre de ces trépidations artistiques et Président de Boaz'Art, s'est approché de moi, un script serré dans sa main. On ne le présente plus, Roland, avec ses projets audacieux, qui bousculent, qui questionnent et éveillent les esprits.


Il m'avait convié à le rejoindre ce matin dans les locaux de son association. Quant aux raisons de cette convocation mystère ? Silence radio. Le secret était aussi bien gardé qu'un trésor. Curiosité piquée au vif, je n'avais d'autre choix que de me laisser entraîner dans cette aventure prometteuse, avec la certitude que, venant de lui, cela promettait d'être tout sauf ordinaire.


Soumis au sceau de la discrétion, je me vois dans l’impossibilité de partager les pépites que j’ai eu le privilège d’observer et d'entendre aujourd’hui. L'enjeu ? Rien de moins que les préparatifs de l’interview de Jean-Marie Matisson, une pointure dont la venue était attendue avec impatience dès l'aube. Alors, je dois mordre sur ma langue, car ce serait briser la promesse d'un silence qui me tient à cœur. Néanmoins, je peux vous dire que vous pouvez vous attendre à une révélation époustouflante. Dans l'antichambre de l'actualité brûlante, cette entrevue, d'une richesse de cinquante minutes à la montre, promet de jeter un pavé dans la mare médiatique.


D'ici peu, vous découvrirez ce bijou filmé, qui aborde un thème à la une, celui qui fait frémir les bandeaux rouges de nos chaînes favorites. Et là, accrochez-vous, car les dires de Matisson vont faire l'effet d'une déflagration dans le paysage audiovisuel. Cet homme, dont la réputation d'intégrité fait l'unanimité, va, je le pressens, ébranler bien des certitudes.


Alors, tenez-vous prêts ! Si je me réjouis d'une chose, c'est de vos visages médusés quand les révélations tomberont. J’en frémis d’avance… mais chut, je n’en dis pas plus. Restez à l'affût, la surprise s'ébauche déjà !




Crédit photo : Valérie Hubert-Cassant (Le Dauphiné libéré)
Crédit photo : Valérie Hubert-Cassant (Le Dauphiné libéré)

Jean-Marie Matisson et sa famille ont courageusement ouvert la voie dans l'un des chapitres les plus sombres de l'histoire juridique française.


Aux côtés de son père Maurice, de sa grand-mère Jacqueline et de sa cousine Esther Fogiel, il s'est lancé dans une bataille judiciaire historique, se portant partie civile pour crimes contre l'humanité. Ensemble, ils ont mis en lumière les agissements douteux de la préfecture régionale et de l'État français, des méfaits incarnés par la figure controversée de Maurice Papon. Et quelle épopée ce fut ! Cela a pris deux décennies de lutte acharnée, de détermination sans faille, avant de voir Papon finalement condamné à une peine de dix ans d'emprisonnement. Leur combat, loin d'être une simple démarche judiciaire, a été un acte de résilience, un cri pour la justice face à l'oubli des atrocités du passé. Jean-Marie et sa famille sont devenus des symboles de la quête incessante de vérité et de responsabilité, des sentinelles de la mémoire. Chapeau bas !












BOAZ'ART

18 Rue de la Bonneterie

33640 Portets


Tél : 06 84 50 73 74

Tél : 06 14 55 14 30

boazart33@gmail.com


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Rédaction : Philippe RECLUS (WEBNEWS) Crise israélo-palestinienne : Matisson, un regard tranché et sans filtre.



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